Seascape 27 Rapport de test

Difficile de classer le Seascape 27 dans une catégorie spécifique. Au lieu de lui coller une étiquette, pourquoi ne pas l’essayer et en profiter, tout simplement. Un modèle qui promet justement de belles navigations sur nos lacs.

Il ne serait pas «radical», mais plutôt «résolument moderne». Avec ces mots, Andraz Mihelin tape vraiment dans le mille. Kristian Hajnsek et lui sont à l’origine du Seascape 27. Ces deux navigateurs expérimentés comptent deux campagnes Minitransat avec des prototypes à leur actif et savent très bien ce qu’il faut pour qu’un bateau soit rapide. Ils ont également appris à se limiter à l’essentiel. Il y a trois ans, ils avaient mis sur le marché le Seascape 18, un bateau sportif rapide et à l’équipement plutôt simple. Ce modèle a eu beaucoup de succès: près de 200 unités ont été vendues à ce jour. «Nous avons consciemment attendu un peu plus longtemps pour notre deuxième bateau afin de ne pas perdre de vue ce qui était important», explique Mihelin. «Le Seascape 27 s’est ensuite révélé être un projet entièrement nouveau. Nous ne voulions pas un Seascape 18 un peu plus développé, mais un bateau vraiment nouveau. Et ceci sera également le cas à l’avenir.» L’objectif de Seascape est de proposer un modèle pour chaque catégorie CE. A quoi faut-il donc s’attendre après le Seascape 18 (C) et le Seascape 27 (B)? Un modèle pour la haute mer ou une yole? «Nous commencerons sûrement par nous attaquer à la catégorie A « » Il est étonnant de voir, surtout dans la construction monotype, à quel point les connaissances existantes ne sont souvent pas appliquées de manière conséquente. pour ensuite développer une yole de catégorie D», indique Andraz Mihelin. «Mais le projet en question est encore très abstrait. Nous devons maintenant nous concentrer sur le Seascape 27.»

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• marina.ch Numéro 56 / Novembre 2012 (PDF 1.9 MB)